La politique du tout vaccinal aurait pu nous faire oublier que le Covid se soigne, si quelques chercheurs et médecins courageux ne le martelaient depuis deux ans. Tour d’horizon de ces traitements précoces qui marchent et qui auraient sauvé des vies.
L’ évocation du mot « traitement », concernant le covid-19, fait grincer des dents les médias « mainstream » et la sphère gouvernementale. Lorsque la recherche chinoise, puis l’IHU de Marseille, ont montré, avant le mois de mars 2020, une réduction de la charge virale (donc une réduction du risque infectieux) sous un traitement associant hydroxychloroquine et azythromycine, la nouvelle n’a été pas accueillie avec l’enthousiasme escompté. Peu importe que les médicaments en question aient été utilisés depuis de nombreuses années sur de très longues périodes, et dans le monde entier, sans conséquences graves. Dans les esprits, la question n’est déjà plus « comment prendre soin et se soigner ? », mais « à quand le vaccin ? »
Des dizaines de questions…
Dès lors, de multiples questions se posent. Quand bien même un vaccin efficace et sans risque serait trouvé, combien de personnes seront décédées en attendant ?
- Une dynamique incroyable et une collaboration internationale n’auraient-elles pas dû être mises en place autour des traitements, nouveaux et anciens ?
- Pourquoi n’a-t-on pas fait plus confiance aux médecins de ville ? Pourquoi les avoir écartés, leur intimant de renvoyer les malades chez eux avec du paracétamol jusqu’à ce qu’ils se retrouvent en difficulté respiratoire et expédiés aux urgences ?
- Pourquoi les médecins qui proposent des alternatives ou des protocoles de traitement à divers stades de la maladie sont-ils, au mieux ignorés, au pire sanctionnés ou victimes d’attaques diverses ?
- Pourquoi aucune mesure de prévention médicamenteuse ou naturelle n’a- t-elle été médiatisée ?
… une seule réponse possible
Autant de questions qui se dissipent devant une donnée très simple : un vaccin, une thérapeutique ne peuvent obtenir d’autorisation « conditionnelle » de mise sur le marché, sans appliquer un ensemble des mesures afin de s’assurer de la sécurité du produit, sauf :
- s’il y a une urgence et donc un risque vital pour l’ensemble de la population. FAUX : l’ensemble de la population n’a jamais été touchée. Rappelons que la moyenne d’âge de la population décédée est de 85 ans, soit une moyenne plus élevée que la moyenne d’âge de décès en France ;
- s’il n’existe aucun traitement disponible. FAUX : dès le début de la propagation de l’infection en France, il existait des thérapeutiques éprouvées disponibles. Mais pour imposer l’impératif d’une vaccination salvatrice, il fallait donc discréditer tous les traitements au plus vite et par tous les moyens. CQFD.
Valider l’efficacité d’un traitement : les limites de l’épidémiologie
Comme l’écrit Michel de Lorgeril, épidémiologiste reconnu, la médecine scientifique s’appuie sur des pratiques appelées EBM (Evidence Based Medicine) soit une médecine qui tente de démontrer de manière certaine l’efficacité d’un traitement. Il faut distinguer :
- l’épidémiologie d’observation : on étudie des associations avec différents facteurs, mais association ne veut pas dire causalité. D’autres facteurs connus ou non connus sont susceptibles d’intervenir. Ceci est désigné comme les effets du hasard et donc l’observation ne permet jamais de démontrer une relation de causalité. Pourtant, c’est bien de cette manière que la médecine a avancé. Les anciens acceptaient de se donner du temps pour l’observation, ils modifiaient ensuite leurs pratiques et, souvent, cela bénéficiait aux patients.
- l’épidémiologie d’intervention : l’outil principal porte le nom d’ « essai clinique randomisé ».
Afin de maîtriser le hasard, il faut procéder à un tirage au sort : deux groupes qui se distinguent l’un de l’autre par un seul facteur, le traitement que l’on étudie. Si je trouve une différence entre les deux groupes, je peux affirmer une relation d’efficacité entre le médicament étudié et l’issue de la maladie. Un temps d’étude est indispensable à définir et les industriels prévoient des analyses intermédiaires qui pourraient permettre d’interrompre l’étude, soit parce que la thérapeutique est inefficace et cela permet d’interrompre l’étude et une économie substantielle, soit si les éléments justifient de démarrer les processus de production sans attendre le résultat final.
Quel est donc l’enjeu le plus important : l’intérêt supérieur du patient ou les bénéfices pour les actionnaires ?
Est-ce bien raisonnable ?
Nous sommes donc face à des limites parfois insurmontables, notamment lorsque le temps presse.
Est-il pour autant raisonnable et responsable de proposer une thérapeutique vaccinale pour tous en dégradant tous les processus d’évaluations, alors même que :
- ces technologies n’avaient jamais été utilisées chez l’être humain à si grande échelle pour une vaccination (plutôt une injection génique) ;
- les formes graves touchaient seulement les personnes fragilisées par une maladie chronique et le grand âge ;
- des traitements ambulatoires précoces utilisant des molécules anciennes parfaitement maîtrisées aux effets secondaires connus et limités existaient ?
Pourquoi tant de peur et de menaces ?
Pourquoi tant d’énergie pour nous faire peur, nous convaincre et tenter de nous soumettre ? Nous proposons deux explications.
Collusion et pression financière
Les profits de l’industrie pharmaceutique sont gigantesques, les conflits d’intérêts quotidiens, les amendes payées pour tricheries sont lourdes depuis le début des années 2000. Qu’importe, les bénéfices sont toujours plus grands. Il suffit de prévoir dans le modèle de commercialisation, le « business model », les sommes pour indemniser les plaignants et payer les plaintes, et le tour est joué. Pire encore, les laboratoires ont osé négocier avec les représentants européens d’être dédouanés de la responsabilité des effets secondaires.
Volonté d’eugénisme
Oui, la question doit être posée. Aujourd’hui, nous sommes capables de mesurer les effets du court terme, mais qu’en sera-t-il à long terme, notamment lorsque la science nous démontre le risque d’angiogenèse (favorise le développement tumoral) après les injections vaccinales ? Qui pourra accuser les vaccins à distance des injections, personne !
Devrons-nous attendre de macabres statistiques témoignant d’une augmentation des maladies tumorales, des récidives tumorales, des fausses couches, de l’infertilité, etc. ? Qu’en sera-t-il des pays ayant imposé une vaccination outrancière à l’ensemble de leur population ? Oui, la question d’une volonté de contrôler ou diminuer la population mondiale doit être posée.
Les thérapeutiques disponibles
Comme dans toute situation, il est préférable de prévenir le risque d’être malade ou de traiter précocement avant que l’état général ne se dégrade.
Nous vous proposons donc une petite synthèse de cet arsenal que nous avons à disposition (voir tableau).
Molécules | Préventif (P) / Curatif (C) | Durée | Où trouver ? | Avis médical |
Activité physique | P | 30 min 3 fois par semaine | C’est mieux à l’extérieur loin de la pollution des véhicules | Pas indispensable |
Aimer | P | Tous les jours | Partout | Pas indispensable |
Antioxydants | P et C | 10 jours en curatif | Pharmacie en curatif | Pas indispensable |
Artémisia | C | 10 jours | Pas indispensable | |
Aspirine | C | 10 jours | Pharmacie | oui |
Azythromycine | C | 5 jours | Pharmacie | oui |
Budésonide | C | 10 jours | Pharmacie | oui |
Colchicine | C | 10 jours | Pharmacie | oui |
Cortisone aérosols | C | 10 jours | Pharmacie | oui |
Doxycycline | C | 10 jours | Pharmacie | oui |
Hydroxychloroquine | C | 10 jours | Pharmacie | oui |
Ivermectine | P si exposé, C | 5 jours | Pharmacie | oui |
N acetyl cystéine | C | 10 jours | Pharmacie | Pas indispensable |
Nigelle | C | 10 jours | Pharmacie | Pas indispensable |
Vitamine C | C | 10 jours | Pharmacie | Pas indispensable |
Vitamine D | P et C | C 10 jours, P 3 mois l’hiver | Pharmacie | Pas indispensable |
Zinc | P et C | C 10 jours, P 3 mois l’hiver | Pharmacie | Pas indispensable |
Pour une dynamique de prise en charge
Énumérer une liste de thérapeutiques ne suffit pas. Nous sommes tous des individus complexes, par nos origines, notre histoire, notre mode de vie, notre état de santé et même, actuellement, notre statut vaccinal.
C’est ainsi que se pratique la médecine depuis la nuit des temps. Le médecin traitant doit jouer pleinement son rôle : diagnostiquer, rassurer, surveiller, et identifier les signes de gravité motivant une hospitalisation.
La prévention demeure essentielle
Alors, selon vos lectures, vos connaissances, les conseils de votre médecin ou de votre pharmacien, utilisez un ensemble de traitements ou de produits naturels qui vous aideront à passer le cap.
Osez chercher ailleurs, une expérience, l’avis d’un soignant, d’une personne de confiance lorsque la seule réponse est de rester chez vous, de prendre du paracétamol et d’attendre que tout se complique ! Mais surtout n’oubliez pas la vitamine D (800 à 2000 unités par jour) en prise quotidienne.
Démarche curative
S’il apparaît un syndrome grippal, un trouble de l’odorat, du goût ou encore digestif, faites un autotest pour confirmer ou pas votre état et consulter votre médecin.
Osons quelques commentaires !
Nous avons volontairement fait l’impasse sur les thérapeutiques employées dans les cas graves.
Nous reviendrons, lors d’un prochain numéro, sur cette gabegie pharmacologique consistant à tenter d’imposer des médicaments coûteux, inefficaces, parfois dangereux, et montrant notre ministre de la maladie sortir une fois encore, et avec empressement, son carnet de chèque pour rémunérer les laboratoires. Est-ce encore du soin ? On ne nous dit pas tout…. Nous, on vous racontera.
En attendant, vous pouvez retenir quelques notions fondamentales :
- Les enfants, quelque soit leur âge, ne font pas de formes graves. Ils ont un système immunitaire de grande qualité : en présence de signes et une confirmation par un autotest, une prise majorée de vitamine D + zinc peut être proposée pendant quelques jours. Soyez attentifs aux enfants porteurs de graves pathologies ou vaccinés. Il faut les traiter précocement. Un ajout d’ivermectine peut être proposé.
- Chez les adultes sans pathologie chronique, le variant omicron ne donne pas de formes respiratoires sévères. Une majoration des doses de vitamine D et de zinc peut être proposée. Des alternatives, dites naturelles, sont aussi possibles et efficaces .
- Concernant les adultes avec une pathologie chroniques et/ou vaccinés : ce n’est pas la variant qui fait la gravité mais le terrain ! Ainsi, une personne diabétique, en surpoids, immunodéprimée, ou porteuse d’une maladie chronique nécessitera, sans attendre, la même majoration de vitamine D et de zinc et un traitement par ivermectine. Rappelons ici encore l’intérêt d’un traitement ambulatoire précoce.
- Les anciens, avec ou sans pathologie chronique, surtout si injectés, nécessitent là encore une prise en charge précoce sans attendre les signes de gravité.
En guise de conclusion
Le vaccin à ARN messager est une prouesse technologique, mais qui ne marche pas, et les complications vaccinales n’ont jamais été aussi nombreuses. Selon un sondage du Point du 5 février 2022*, plus de 86,9 % des Français ne sont pas favorables à une obligation vaccinale contre le covid.
Les traitements ambulatoires précoces sont efficaces, maîtrisés.
Sachant tout cela, certains n’hésiteront pas à demander justice pour toutes ces vies perdues, mais il faudra aussi préserver ce que nous avons acquis pendant cette épreuve : plus de fraternité, de solidarité et de discernement pour changer, enfin, de cap !
Vous avez dit « vaccin » ?
Le vaccin n’est pas un traitement en tant que tel, mais il doit susciter, chez la personne le recevant, une réaction immunitaire conduisant à la création d’une immunité, en remplacement de l’immunité naturelle, si celle-ci n’existe pas pour la maladie en cause. Mais alors :
– que penser des personnes qui ont déjà un déficit immunitaire inné (exceptionnel, découvert au moment de la naissance) ou acquis (toutes les personnes qui reçoivent un traitement entraînant une baisse de l’immunité, patient greffé, en cours de chimiothérapie) ? Ont-ils la capacité à développer une immunité de qualité ?
Il faut se rappeler qu’en prenant de l’âge, toutes les fonctions de notre organisme s’affaiblissent, comme l’immunité.
La mesure de l’impact des vaccins contre la grippe saisonnière, proposée par la Cochrane* (base de données internationale) en 2016, montre que, chez les personnes âgées, cet effet est modeste, indépendamment du contexte, du critère de jugement, de la population et de la conception de l’étude. Une raison supplémentaire pour prendre en charge et proposer un traitement précoce à tous les âges de la vie, surtout pour la personne âgée ou fragilisée par une maladie chronique.
– Que penser des personnes déjà immunisées de manière naturelle et dont l’immunité persiste toute la vie ? Se vacciner, c’est alors accepter de prendre un risque sans en tirer le moindre bénéfice.
*https://www.cochrane.org/fr/CD004876/ARI_les-vaccins-pour-la-prevention-de-la-grippe-saisonniere-et-de- ses-complications-chez-les-personnes)
Docteur Salsa et Pierre Brochant