Et si on parlait d’amour ? Ce besoin ne serait-il pas encore plus fort, alors que nous sommes plongés dans cette situation de crise ?
Quand le contexte global nous parle d’uniformisation, de mondialisation et maladie, célébrer cet « enfant de boême » revient à revendiquer sa fantaisie, sa liberté, sa force de vie.
Quand le discours officiel voudrait nous diviser, nous opposer dans la violence, l’amour vient nous relier, nous solidariser comme jamais.
Parce qu’au fond de nous, nous cherchons l’unité. Pas l’uniformité mais l’unité.
Alors, soyons unis, soyons créatifs, soyons imaginatifs, soyons imprévisibles, soyons amoureux !
Golden Voyager et Odray Monhett