Parents, indignez-vous !

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Les mesures sanitaires concernant les enfants soulèvent beaucoup d’interrogations et d’inquiétudes. Sont-elles fondées ?

«Je suis en forme, je vis chez moi et j’ai dit à mes petits-enfants de venir voir mamie et sans masque ! Et si mamie est malade ce ne sera pas de votre faute ! » La patiente qui me tient ce discours a 78 ans. En consultation, elle vient de m’annoncer fièrement qu’elle prend chaque jour du zinc et de la vitamine D. À l’heure où j’écris, cette grand-mère refusant l’injection génique, dite « vaccin1 », n’est toujours pas malade et ses petits-enfants continuent de partager avec elle de merveilleux moments ! J’ai eu envie de partir de cet exemple pour vous proposer de réfléchir ensemble sur cette crise qui n’a que trop duré. Invicta2 !

Reprendre notre autorité

Vous avez donné la vie. Vous tenez dans vos bras un petit être qui ne cesse de grandir, de progresser, de s’affirmer et vous l’accompagnez avec votre amour, votre énergie et vos espoirs.

« Dans ce grand cycle de la vie où il fallait que nous passions », comme dit la chanson3, pouvons-nous décider de leur vie, pouvons-nous imposer des pratiques ou une thérapie génique sur un organisme en bonne santé et accepter un monde de soumission, dans lequel chaque nouvelle injection va perturber et peut-être même abréger la vie4 ? Comment est-il possible qu’en tant que parents, nous nous laissions imposer par l’autorité suprême des pratiques d’un autre âge ? L’État penserait-il à notre place ?

Dans leurs démonstrations « scientifiques », ministres et représentants de l’État imposent l’obligation vaccinale comme seul projet, tout en reconnaissant que cette injection génique n’empêche ni la maladie, ni la transmission5 et qu’il n’existe aucune démonstration scientifique permettant de limiter les formes graves.

Comment comprendre que, dans la même intervention, le président du Conseil scientifique Covid-19, Jean-François Delfraissy, reconnaisse l’inefficacité de l’injection tout en refusant de mettre fin au pass sanitaire ?

Petit rappel sur l’immunité des enfants

Selon une analyse publiée le 10 septembre 2021 sur le site des Centres de prévention et de lutte contre les maladies aux États-Unis (CDC)6, suivant le scénario le plus probable, les taux de létalité par tranche d’âge (nombre de morts sur le nombre réel d’infections) sont de 0,003 % (0-19 ans), 0,02 % (20-49 ans), 0,5≈% (50-69 ans) et 5,4 % (70 ans et plus).

Alors, si les enfants sont si toxiques, pourquoi ne s’empoisonnent-ils pas entre eux ? Pourquoi ne s’empoisonnent-ils pas eux-mêmes ? Tout simplement parce que les enfants bénéficient d’une immunité innée très forte. Leur corps étant beaucoup plus petit, leur capacité de production de virus (leur charge virale) est donc naturellement plus faible. Ils présentent beaucoup moins de récepteurs ACE-2 (lieu d’action du virus) par cellule que les adultes, ce qui entrave la production de virions. Résultat : l’exposition au virus entraîne un simple portage de celui-ci, une grippe banale, qui peut fatiguer 48 heures, mais qui va surtout permettre le développement d’une immunité naturelle spécifique globale et non limitée à une seule protéine (protéine spike) qui durera toute leur vie et évitera ces réinjections géniques à risque tous les trois mois.

Voilà plus d’un an, le président nous annonçait la sortie du tunnel par cette injection. Un an plus tard, rien n’a changé. Parents, êtes-vous encore prêts à entendre le même discours ?

L’échec des mesures de contrainte

Nous l’avons écrit ci-dessus, l’enfant, même malade est peu transmetteur, ne fait pas de forme grave ou de manière exceptionnelle. Alors, comment justifier l’obligation du port du masque ? Plus de 400 études démontrent l’échec des mesures de contrainte contre le Covid7 . Le 20 mai 2021, le Collectif national des orthophonistes de France a publié une lettre concernant le port du masque à l’école. L’inquiétude de ces professionnels du langage porte sur la santé, mais aussi sur le développement des enfants : « Que peut percevoir un enfant lorsqu’il passe plus de 8 h avec des puéricultrices masquées ? Comment peut-il entrer dans ce jeu d’imitation qui est la clé de voûte du langage et de la pensée ? Comment peut-il percevoir les émotions de son interlocuteur, lorsque la moitié du visage de ce dernier est cachée ? Le message qu’il reçoit est tronqué et porteur d’insécurité8. »

Bâillonnés inutilement pendant des mois, privés d’éducation, de développement moteur et d’interactions sociales indispensables, nos enfants ont été mis en grave danger sur les plans physique, immunologique et psychologique. Ce masque, totalement inutile, inscrit l’enfant dans une culture à la fois de sou- mission et d’anxiété9. La peur, l’angoisse et le stress semblent constituer, pour ce gouvernement, les moyens privilégiés pour épanouir et instruire nos enfants.

Parents, quel modèle éducatif êtes-vous prêts à accepter pour vos enfants ?

Vos enfants ne représentent aucun danger pour leurs parents ou leurs grands-parents.
C’est en fait le contraire. Leur immunité, après avoir reçu le Covid, est essentielle pour sauver votre famille, voire le monde, de cette maladie.

Mise en garde du Dr Malone

Revenons à l’essentiel : la santé de vos enfants. On peut retenir trois points, évoqués dans une vidéo publiée le 12 décembre 2021 par le Dr Robert Malone, l’inventeur de la technologie de l’ARNm 10 :

– Le premier est qu’un gène viral sera injecté dans les cellules de votre enfant. Ce gène oblige l’organisme de votre enfant à fabriquer des protéines toxiques. Ces protéines provoquent souvent des dommages permanents dans les organes critiques de l’enfant.

Le point le plus alarmant à ce sujet est qu’une fois que ces dommages ont eu lieu, ils sont irréparables. Vous ne pouvez pas réparer les lésions à l’intérieur de leur cerveau. Vous ne pouvez pas réparer les cicatrices du tissu cardiaque. Vous ne pouvez pas réparer un système immunitaire génétiquement réinitialisé, et cette injection peut causer des dommages du système reproducteur qui pourraient affecter les générations futures de votre famille.

– La deuxième chose que vous devez savoir est la nécessité d’au moins cinq ans de tests et de recherches avant qu’il soit possible réellement de comprendre les risques associés à cette nouvelle technologie. Les effets néfastes et les risques des nouveaux médicaments sont souvent révélés seulement des années plus tard.

– Enfin, la raison qu’ils vous donnent pour injecter votre enfant est un mensonge. Vos enfants ne représentent aucun danger pour leurs parents ou leurs grands-parents. C’est en fait le contraire. Leur immunité, après avoir reçu le Covid, est essentielle pour sauver votre famille, voire le monde, de cette maladie.

L’expérience la plus radicale de l’histoire de l’humanité

Il n’y a aucun avantage pour vos enfants ou votre famille à les injecter contre le faible risque du virus, compte-tenu des risques sanitaires connus de l’injection avec lesquels, en tant que parents, vous et vos enfants devrez peut-être vivre pour le reste de la vie.

L’analyse bénéfice-risque n’est absolument pas favorable à ces injections s’agissant des enfants. En tant que parents et grands-parents, il faut résister et prendre position pour protéger vos enfants.

Et le Dr Malone de conclure : « Posez vous, s’il vous plaît, en tant que parents, cette question : voulez-vous que votre enfant fasse partie de l’expérience la plus radicale de l’histoire de l’humanité ? »

Le vent tourne

22 décembre 2021 : la progression du variant omicron est notable en région parisienne, alors que la population injectée dépasse 95 %. Omicron sera-t-il le variant qui fera éclater la vérité ?

Pendant que l’État persiste et assène que « la vaccination des enfants doit être encouragée avant de devenir obligatoire », des voix s’élèvent dans quelques rares médias. Ainsi, Natacha Polony, rédactrice en chef de Marianne s’insurge : « […] sur les plateaux de chaînes d’info, le défilé des médecins, qui se demandent aussitôt s’il ne faudra pas aller plus loin, fermer les écoles, les restaurants, et qui piaffent : “À quand la vaccination des enfants ?” ».

Le 15 décembre 2021, l’épidémiologiste Martin Blachier et la psychologue Marie-Estelle Dupont ont lancé la pétition « Écoles = retour à la normale le 3 janvier 2022 », demandant « la fin du port du masque en classe et lors des activités extérieures, l’absence de toute forme de pression vaccinale sur les enfants ainsi que la fin des évictions scolaires pour les enfants positifs au covid11 ».

Parents, êtes-vous prêts à résister ?

Dr Salsa


Notes

  1. Il est plus approprié de parler d’« injection », car il s’agit de produits expérimentaux et non de « vaccins » au sens scientifique du terme.
  2. Nelson Mandela avait fait d’Invictus, le poème de William Ernest Henley, un guide pour sa vie et pour son action. I Muvrini lance ce mot fort d’« Invicta » pour appeler à la même résistance, mais aussi à une exigence urgente : la non-violence.
  3. « Quand les hommes vivront d’amour » : https://www.youtube.com/watch?v=yrpal8jLXzc
  4. https://fr.wikipedia.org/wiki/Thérapie_génique
  5. https://www.youtube.com/watch?v=UAHplidaD8o
  6. https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7036e2.htm?s_cid=mm7036e2_x#F1_down
  7. https://www.covidhub.ch/plus-de-400-etudes-demontrent-lechec-des-mesures-de-contrainte-contre-le-covid/
  8. https://enfance-libertes.fr/le-collectif-national-des-orthohonistes-de-france-publie-une-lettre-ouverte-concernant-le-masque-a-lecole/
  9. https://wikistrike.com/2020/11/consequences-psychologiques-du-port-du-masque-chez-les-enfants-de-6-a-10-ans.html
  10. https://odysee.com/@LeLibrePenseur.org:2/video_2021-12-16_22-21-41:8
  11. https://www.wesign.it/fr/sante/ecoles-retour-a-la-normale-le-3-janvier-2022?s=08