DÉBUSQUER, DÉCRYPTER, COMPRENDRE
Laurent Montesino est médecin réanimateur depuis vingt-cinq ans. Il a exercé à l’hôpital Bichat, l’hôpital de Longjumeau et l’hôpital américain, à Paris, puis à la clinique Clairval, à Marseille, qui l’a licencié pour avoir critiqué la politique sanitaire. Il fait partie des dix médecins poursuivis par le conseil de l’Ordre.
VOIR LA VIDÉOMédecin généraliste au Luxembourg, Benoît Ochs a été condamné en appel, en juillet 2022, à un an de suspension pour avoir « enfreint le code de déontologie ». Il lui est reproché notamment d’avoir évoqué publiquement la toxicité des masques et de ne pas avoir respecté les mesures sanitaires en continuant de soigner des patients covid.
VOIR LA VIDÉO« Le grand remplacement, ce n’est pas les Arabes, c’est les robots ! » Nassima dénonce l’avènement d’une médecine déshumanisée, asservie au prestige, au pouvoir et au profit.
VOIR LA VIDÉOLe professeur Christian Perronne sortant du métro, station volontaires, avant de se rendre à son audience devant la chambre disciplinaire du Conseil régional de l’ordre des Médecins d’Île-de-France au 9, Rue Borromée, 75015 Paris.
La chambre disciplinaire de première instance d’Île-de-France de l’Ordre des médecins a auditionné le professeur suite à deux plaintes déposées en 2020 . La première par le Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM) concernant les interventions médiatiques du professeur Perronne au sujet de la covid 19, et la deuxième par le Dr Nathan Peiffer-Smadja, estimant que l’article 56 du code de déontologie qui dispose que « les médecins doivent entretenir entre eux des rapports de bonne confraternité », aurait été violé.
VOIR LA VIDÉOÀ partir de septembre 2021, environ 15 000 soignants ont été « suspendus » pour avoir refusé des injections expérimentales, et se sont retrouvé sans revenus, sans aide, dans l’indifférence quasi-générale. Praticien en santé naturelle, auteur et éditeur, Fabien Moine analyse, dans ce documentaire, un système dans lequel les soignants ont été utilisés et manipulés. Un remarquable travail de réinformation.
VOIR LA VIDÉOL’immunité naturelle, système de défense ou lieu d’échange avec notre environnement, à vous de choisir ! Vous aider à prendre position, à ne plus avoir peur, telle est notre ambition et tant pis si quelques esprits chagrins tenteront de vous dénigrer. Cultivez votre immunité en restant debout !
Rappelez-vous les amis, dans les années 50, lorsque votre médecin de famille faisait un diagnostic de rougeole chez un enfant en bas âge, il sonnait non pas le tocsin, mais le rassemblement pour que tous les enfants du voisinage viennent côtoyer le petit malade afin de se contaminer et faire leur immunité contre le virus de la rougeole. Les symptômes sont modérés à cet âge, de la fièvre pas trop, des boutons quelques jours ; les mécanismes biologiques de l’immunité offrent alors une protection pour le reste de la vie.
LIRE LA SUITELe terme « lanceur d’alerte » apparaît en France dans les années 90, et avant 2016, aucune protection n’était prévue pour les personnes révélant des dysfonctionnements, des dangers constituant une menace pour l’homme, pour l’environnement, la société, etc. Seuls quelques journaux 1 pouvaient porter l’accent sur des actions contrevenant à l’intérêt général avec une prise de risques minimale.
LIRE LA SUITEMardi 22 février, ont eu lieu les obsèques de Luc Montagnier, professeur, biologiste et virologue, prix Nobel de médecine en 2008 pour la découverte du virus du sida.
Cet éminent scientifique s’était régulièrement attiré les critiques de la communauté scientifique en dénonçant « l’ignorance scientifique et le manque de cohérence des politiques publiques », concernant notamment les maladies transmises par les tiques.
LIRE LA SUITELa politique du tout vaccinal aurait pu nous faire oublier que le Covid se soigne, si quelques chercheurs et médecins courageux ne le martelaient depuis deux ans. Tour d’horizon de ces traitements précoces qui marchent et qui auraient sauvé des vies.
L’ évocation du mot « traitement », concernant le covid-19, fait grincer des dents les médias « mainstream » et la sphère gouvernementale. Lorsque la recherche chinoise, puis l’IHU de Marseille, ont montré, avant le mois de mars 2020, une réduction de la charge virale (donc une réduction du risque infectieux) sous un traitement associant hydroxychloroquine et azythromycine, la nouvelle n’a été pas accueillie avec l’enthousiasme escompté. Peu importe que les médicaments en question aient été utilisés depuis de nombreuses années sur de très longues périodes, et dans le monde entier, sans conséquences graves. Dans les esprits, la question n’est déjà plus « comment prendre soin et se soigner ? », mais « à quand le vaccin ? »
LIRE LA SUITEPour 100 lits de soins critiques, 18 patients sont identifiés « Covid-19 », 3 ne sont pas venus à l’hôpital pour cette raison, 3 n’ont pas de test positif, 6 sont venus pour cela et sont vaccinés, 6 sont venus pour cela et sont non-vaccinés. La réalité est donc bien loin des discours médiatiques…
Préambule : cet article est paru sur le site de Réinfo Covid, collectif de soignants, médecins et scientifiques universitaires réunis autour du besoin « d’une politique sanitaire juste et proportionnée pour la France ». Nous le publions avec l’accord du collectif pour faire bénéficier nos lecteurs de ce travail scientifique de réinformation. Il y est fait référence à des documents (articles et vidéos) accessibles sur leur site 1.
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